6 mars 2023
Semaine du 16 janvier
Les membres du corps professoral, du personnel enseignant et les membres étudiants de l’Université Laval prennent la parole dans les médias et s’expriment sur différents enjeux d’actualité.
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Voici quelques interventions de la communauté au cours de la semaine du 16 janvier.
- P.K. Subban a admis qu’il n’était pas parvenu à remplir sa promesse d’amasser 10 M$ en sept ans au profit de l’Hôpital de Montréal pour enfants. Le professeur Thomas K.B. Koo de la Faculté des sciences de l'administration de l’Université Laval, souligne que cet engagement a renforcé l’image de l’athlète, mais le fait de ne pas l’avoir tenu pourrait la ternir.
Philanthropie: des dons pour mousser l’image des vedettes (Journal de Québec) - La pandémie a profondément bousculé les écoles de gestion du Québec. Le professeur à la Faculté des sciences de l'administration de l’Université Laval et directeur des programmes de MBA, Serge Kablan , rapporte que 20% des cours étaient déjà à distance en 2019, ajoutant que la pandémie a permis de constater leur avance en matière de technologie et de pédagogie.
Des écoles de gestion plus flexibles (Les Affaires) - Le secteur porcin au Québec traverse une importante crise qui pourrait même être la pire vécue par la filière depuis les années 90. Maurice Doyon , professeur à la Faculté des sciences de l’agriculture et de l’alimentation à l’Université Laval, souligne que lorsque des producteurs agricoles songent à la faillite, c’est que l’élastique est étiré au maximum.
Une crise qui fait mal aux producteurs porcins (Le Courrier) - La hausse récente du prix du pétrole en lien avec la guerre en Ukraine favorise l’usage croissant de terres à d’autres fins que celle de nourrir la population. Patrick Mundler , professeur à la Faculté des sciences de l’agriculture et de l’alimentation de l’Université Laval, aborde le modèle agricole du Québec, où 82 % de la production de maïs et de soya sert à l’alimentation animale.
Les cultures destinées à nourrir l’humanité diminuent en faveur du biocarburant (Le Devoir) - L'indice général des prix à la consommation a augmenté de 6,8 % et le coût des aliments à l’épicerie a bondi de 11,4 %. Jordan Roberge et Juliette Boutet-L'Italien, étudiants en agronomie de la Faculté des sciences de l'agriculture et de l'alimentation de l’Université Laval, y voient un signe de l’importance de développer l’autosuffisance du Québec en matière d'alimentation.
Hausse des prix à l'épicerie: l’autonomie alimentaire, la solution? (TVA Nouvelles)
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