
Voici quelques interventions de la communauté au cours de la semaine du 6 février.
- Dans le secteur des énergies vertes, le Québec boursier compte sur deux fleurons : Innergex et Boralex. Y a-t-il de l’argent à faire en achetant ces titres ? Selon le professeur de finance à la Faculté des sciences de l'administration de l’Université Laval, Jean Bédard, Boralex enregistre un rendement de l’avoir annuel dans les deux chiffres, ce qui excède largement le coût du capital emprunté.
Bons pour la planète, mais pour le portefeuille? (La Presse)
- Le gouvernement fédéral propose d’investir 46 milliards $ pour donner un nouveau souffle aux systèmes de santé du pays. L’enveloppe fédérale sera en outre insuffisante pour réellement soulager les systèmes de santé, selon Maude Laberge, professeure d’économie de la santé à la Faculté des sciences de l'administration de l’Université Laval.
L’occasion manquée de Trudeau (Le Devoir)
- La professeure en relations industrielles de la Faculté des sciences sociales de l'Université Laval, Aline Lechaume, mène un projet de recherche sur les parcours socioprofessionnels des demandeurs d’asile. Elle constate que les délais d’obtention d’un permis de travail ont explosé depuis la pandémie, ce qui laisse peu de choix aux demandeurs d’asile.Sans permis de travail pendant des mois, des demandeurs d’asile poussés vers la précarité (Radio-Canada)
- Le clivage entre les critiques de films et le grand public aurait-il augmenté dans les dernières années? Selon le professeur de cinéma Jean-Pierre Sirois-Trahan, de la Faculté des lettres et des sciences humaines de l'Université Laval, ce serait malhonnête de réduire les critiques à une vision élitiste.
Les critiques de films, qu’ossa donne? (Le Devoir)
- La forêt boréale est dans la ligne de mire des sociétés minières pour ses minéraux critiques et stratégiques comme le lithium. Pour Alison Munson, professeure d’écologie et de biogéochimie forestière à la Faculté de foresterie, de géographie et de géomatique de l’Université Laval, avant d’exploiter cette région, il ne faut pas seulement considérer la forêt, mais aussi les sols qui entreposent beaucoup de carbone.
La forêt boréale dans la ligne de mire des sociétés minières (La Presse canadienne via La Presse)
- Au milieu de la pandémie, quelques personnes prédisaient que la fin des restrictions sanitaires serait suivie d’années folles. Après un premier automne sans restriction, les Québécois n’ont pas repris leurs habitudes en ce qui concerne les activités hors de la maison. Ce qui ne surprend pas Pascale Bédard, professeure de sociologie à la Faculté des sciences sociales de l’Université Laval.
Sondage SOM-Le Soleil | L’après-pandémie: quelles années folles? (Le Soleil)
- Les Québécois seront nombreux à voyager lors de la semaine de relâche. Faut-il craindre de revoir les problèmes vécus lors de la période des Fêtes? Selon le professeur de stratégie à la Faculté des sciences de l’administration de l’Université Laval, Yan Cimon, il faudra voir concrètement quelles améliorations seront faites sur le terrain.
Semaine de relâche: autre chaos à prévoir dans les aéroports? (TVA Nouvelles)
- Étienne Berthold, professeur agrégé à la Faculté de foresterie, de géographie et de géomatique de l’Université Laval, commente le problème de rétention qu’a le Vieux-Québec. Selon lui, le quartier joue un rôle transitoire dans le début de la vie adulte, mais que peu de gens vont s’y établir pour de bon.
Un inexorable déclin dans le Vieux-Québec (La Presse)
- Dans le sport, plusieurs rêvent de faire tomber le mur qui sépare filles et garçons. La chercheuse Marilou St-Pierre du nouveau Laboratoire pour la progression des femmes dans les sports au Québec, établi à l’Université Laval, indique que le mélange des genres peut aider à dénouer les stéréotypes, mais ça peut aussi avoir l’effet inverse.
Filles et garçons jouent dans la même cour (Le Devoir)