Voici quelques interventions de la communauté au cours de la semaine du 24 avril.
- La guerre en Ukraine a modifié non seulement les relations entre la Russie et le reste de l’Europe, mais également les relations entre les États membres de l’Union européenne et de l’OTAN. Reneo Lukic, professeur à l’École supérieure d’études internationales de l’Université Laval, co-signe un texte d’opinion sur ce nouvel équilibre qui est en train d’émerger.
La sécurité collective de l’Europe est à la croisée des chemins (La Presse) - Maude Blouin, étudiante à la maîtrise en sciences des aliments à la Faculté des sciences de l'agriculture et de l'alimentation de l’Université Laval, raconte comment elle s’est découvert une fascination pour ce qu’il se passe derrière l’assiette, à l’étape de la transformation des aliments. Actuellement, elle se concentre sur la modification de l’alimentation de la vache laitière.
Comprendre ce qui se passe derrière l’assiette (La Presse)
- Le ministre Bernard Drainville n’a pas l’intention de créer un ordre professionnel pour les enseignants, comme le réclament certains à la suite des cas de violence rapportés dans les médias. Égide Royer, professeur retraité de la Faculté des sciences de l'éducation de l’Université Laval, souligne qu’une telle instance permettrait d’assurer une meilleure protection du public.
Le ministre Drainville écarte la création d’un ordre professionnel pour les enseignants (Journal de Québec) - La ministre Martine Biron annonce qu’elle veut légiférer pour protéger le droit à l’avortement au Québec. Louise Langevin, professeure à la Faculté de droit de l’Université Laval, souligne que même si son intention est louable, l’exercice n’est pas nécessaire. Elle s’exprime sur le sujet dans un texte d’opinion.
A-t-on vraiment besoin d’une loi ? (La Presse) - Au lendemain de la parution d’une analyse sur les coûts élevés des opérations faites dans le privé, le ministre Christian Dubé affirme que les cliniques privées ont fait la preuve de leur efficacité. Selon Maude Laberge, professeure à la Faculté de médecine de l’Université Laval, on ne peut tout simplement pas comparer le public et le privé, car « les règles du jeu » sont différentes.
Le privé en santé a fait ses preuves en chirurgie, dit Christian Dubé (Le Devoir) - Les arnaqueurs ne sont pas seulement dans les documentaires sur Netflix. Une femme de Québec a rencontré un homme sur Tinder qui n’était pas celui qu’il prétendait être. Madeleine Pastinelli, professeure à la Faculté des sciences sociales de l’Université Laval, souligne qu’à l’ère des réseaux sociaux et des applications de rencontres, ce type de situation est plus à risque de se produire.
Tinder: faux diplôme, faux voyages et problèmes d’argent (Le Soleil) - C’est officiel : il n’y aura pas de troisième lien autoroutier entre Québec et Lévis. Marc André Bodet, professeur à la Faculté des sciences sociales de l’Université Laval, s’exprime sur le projet dans un texte d’opinion. Selon lui, même si la ministre Geneviève Guilbault s’accroche toujours à un tunnel pour le transport en commun, il paraît évident que celui-ci ne verra jamais le jour.
Quand le tunnel devient un trou noir (Le Devoir) - Alors que les demandes d’aide augmentent, le manque de locaux disponibles nuit au travail de plusieurs organismes communautaires de Québec. Marie-Hélène Deshaies, professeure à la Faculté des sciences sociales de l’Université Laval et présidente de la Table citoyenne Littoral-Est, souligne l'importance d'un local adapté et abordable pour le bon fonctionnement d’un organisme.
Des organismes communautaires dénoncent le manque de locaux disponibles à Québec (Radio-Canada) - À quoi ressemblera le territoire québécois en 2050 ? Selon Patrick Mundler, professeur à la Faculté des sciences de l’agriculture et de l’alimentation de l’Université Laval, l’agriculture de 2050 n’est pas en rupture totale avec le tournant des années 2020, mais c’est sa diversité qui la distingue. Il aborde aussi le morcellement des terres permettant à davantage de petites exploitations de s’installer.
La résilience est dans les champs (Le Devoir) - Chaque fois qu’un criminel décide d’utiliser son arme à feu pour commettre un crime, il en coûte un demi-million de dollars à la société. C’est ce que révèle une étude inédite de Yanick Charette, professeur à la Faculté des sciences sociales de l’Université Laval, et de Maude Mailloux-Savard, doctorante en criminologie, qui se sont intéressés à l’aspect économique du fléau.
Violence armée à Montréal: un demi-million $ par crime armé (Journal de Québec) - Des milliers de personnes se sont fait entendre devant l’Assemblée nationale pour exiger des mesures en matière d'environnement et de lutte contre les changements climatiques. Jeanne Huard, représentante de l’Association des étudiants et étudiantes en sciences sociales de l’Université Laval, a exprimé au nom des étudiants le manque d’ambition et d’empressement des gouvernements.
Forte mobilisation à Québec pour l’urgence climatique (Radio-Canada) - Selon Denis Leboeuf, professeur associé à la Faculté des sciences et de génie de l’Université Laval et expert des grands chantiers civils, les informations manquantes au sujet du troisième lien dans les huit mille pages d’études, de rapports, d’analyses et de synthèses présentées par le ministère des Transports et de la Mobilité durable dénotent un manque de rigueur dans la gestion du projet.
8000 pages plus tard, la CAQ apparaît encore brouillonne quant au troisième lien (Le Devoir)