Voici quelques interventions de la communauté au cours de la semaine du 24 juillet.
Un glissement de terrain s’est produit à Salluit récemment. Ces phénomènes sont de plus en plus fréquents avec le réchauffement. Pascale Roy-Léveillée, professeure à la Faculté de foresterie, de géographie et de géomatique de l’Université Laval, et le professeur émérite Michel Allard abordent comment les chercheurs et les communautés collaborent pour s'adapter aux changements climatiques.
Au Nunavik, résidents et chercheurs collaborent pour s’adapter à la fonte du pergélisol (Radio-Canada)Aux Trois Couvents et le Manoir Mauvide-Genest organiseront des simulations de fouille en août, et tiendront des conférences publiques sur la réalité de la recherche scientifique en archéologie aujourd’hui. L’activité a été développée par Maurane Francoeur, finissante au baccalauréat en sciences historiques et études patrimoniales à l’Université Laval, dans le cadre d’un stage crédité.
À la chasse aux trésors de la Nouvelle-France (Le Soleil)Les espèces envahissantes peuvent venir de très loin, et elles sont difficiles à éradiquer. Pour certaines, la lutte est toujours à recommencer, car le moindre fragment de la plante peut donner un plant. C’est le cas de la renouée japonaise. Gabriel Rouleau, ancien étudiant de la Faculté d’aménagement, d’architecture, d’art et de design de l’Université Laval, aborde cette lutte.
Les envahisseuses (Agence Science-Presse)Pendant que les producteurs maraîchers du Québec se soumettent à une pléthore de contraintes sociétales et environnementales, ils déplorent une compétition injuste de l’étranger, où les standards n’ont rien à voir. Maurice Doyon, professeur à la Faculté des sciences de l’agriculture et de l’alimentation à l’Université Laval, commente cet enjeu sur lequel il s’est penché.
« La terre entière » est favorisée, dénoncent les maraîchers québécois (Le Soleil)De nombreuses études récentes ont permis de clarifier l’influence de la nature sur le bien-être humain. Pour Virginie Gargano, professeure à la Faculté des sciences sociales de l’Université Laval, l’accès à la nature est un « enjeu majeur ». Pour des personnes qui n’ont pas accès à des véhicules et qui habitent au centre-ville, l’accès aux immersions en nature est plus difficile.
La nature nous fait du bien (La Presse)