
Voici quelques interventions de la communauté au cours de la semaine du 10 février.
Le tableau de la valeur nutritive n’est toujours pas obligatoire pour les repas préparés en épicerie. Comme nous n’avons aucune donnée quant aux valeurs nutritionnelles de certains de ces repas tout faits, cela peut donner l’impression qu’ils sont aussi nutritifs que s’ils avaient été faits maison. Mais c’est une illusion, selon Véronique Provencher, professeure à la Faculté des sciences de l'agriculture et de l'alimentation.
Repas prêts à manger d’épicerie : difficile de faire des choix éclairés (Radio-Canada)La menace de Donald Trump d’imposer un tarif total de 50% sur les importations d'acier et d'aluminium a-t-elle ébranlé les entreprises canadiennes? Selon Yan Cimon, professeur à la Faculté des sciences de l’administration, il ne faut pas paniquer avec ces déclarations. Le président fait des coups d’éclat pour essayer de se donner un pouvoir de négociation qu’il n’a pas.
Tarifs de 50% sur l'acier et l'aluminium: doit-on paniquer? (Noovo info)Avec la popularité d’influenceurs traditionalistes comme JNT, il y a lieu de se demander si on n’est pas en train d’assister à un retour en force de la religion au Québec. Ce n’est pas le cas, selon Jean-Philippe Perreault, professeur à la Faculté de théologie et de sciences religieuses. Il indique que les jeunes au Québec sont de plus en plus nombreux à se considérer comme n’appartenant à aucune foi religieuse.
Radio-Canada critiquée pour avoir invité à un balado un influenceur aux propos homophobes (24 heures)Lundi, le premier ministre Justin Trudeau a promis une réponse « claire et ferme » aux tarifs douaniers que compte imposer le président Donald Trump le mois prochain. Pour Yan Cimon, professeur à la Faculté des sciences de l’administration, la meilleure façon d’agir pour Ottawa serait de se tenir prêt à riposter rapidement. Et de frapper fort. Il faut trouver des industries où l’on peut maximiser les inconvénients pour les Américains.
L’industrie de l’aluminium et de l’acier touchée, mais loin d’être coulée (Le Devoir)L’attaque en règle du président américain contre les industries de l’acier et de l’aluminium aura des répercussions directes sur le Québec et dans le monde. C’est notamment pour stimuler la production intérieure de ces métaux que l’administration Trump va de l’avant. Selon Jean-Thomas Bernard, professeur émérite à la Faculté des sciences sociales, cet argumentaire ne tient pas la route, comme les États-Unis produisent peu d’aluminium.
Tarifs sur l’acier et l’aluminium - « Donald Trump veut semer le chaos » (La Presse)Donald Trump met sa menace à exécution en signant un décret imposant des tarifs de 25% sur tout l’aluminium et l’acier qui entreront aux États-Unis. Selon Yan Cimon, professeur à la Faculté des sciences de l’administration, c’est une mesure qui a l’air destinée à l’ensemble des pays dans le monde, mais qui vise très fort le Canada. Il souligne que les importations canadiennes dépassent de loin celles des autres principaux fournisseurs dans le monde.
«25%, sans exception ou exemption, pour tous les pays»: Donald Trump signe le décret sur les tarifs pour l’aluminium et l’acier (Journal de Québec)Des menaces de tarifs douaniers de 25% sur les exportations du Mexique et du Canada vers les États-Unis et des tarifs sur l’acier et l’aluminium: le président américain Donald Trump n’a pas fini de jouer avec l’économie des autres pays. C'est ce que constate Yan Cimon, professeur à la Faculté des sciences de l’administration. Selon lui, l’imprévisibilité est la marque de commerce de Donald Trump.
Menaces de tarifs douaniers: «L’imprévisibilité est la marque de commerce de Trump» (TVA Nouvelles)Selon Frank Pons, doyen de la Faculté des sciences de l’administration, on sait que ça vaut la peine de dépenser des millions pour 30 secondes de publicité. Normalement, les gens fuient la publicité alors que dans cet événement, ils la cherchent. Si le Super Bowl incite à la surconsommation, il est aussi un moteur économique important pour le pays. Les retombées économiques sont énormes pour la ville qui reçoit.
Donald Trump serait-il le grand gagnant du 59e Super Bowl? (24 heures)La première bataille de la guerre économique avec les États-Unis portera sur l’aluminium et l’acier canadiens. Antoine Noël, professeur à la Faculté des sciences sociales, répond à des questions pour y voir plus clair, notamment sur les effets des tarifs sur les prix, l’emploi et la consommation, et sur la riposte du Canada en passant par la conclusion de nouveaux accords de libre-échange avec d’autres pays.
Cinq questions pour comprendre les conséquences des tarifs sur l’acier et l’aluminium (Le Devoir)
Les conservateurs ont surpassé les libéraux sur le plan des sommes recueillies et n’ont pas cessé d’accroître leur avance. Selon Eric Montigny, professeur à la Faculté des sciences sociales, ils ont traditionnellement mieux tiré leur épingle du jeu sur le plan du financement populaire que les libéraux, notamment avec des stratégies de microciblage de financement.
Dons aux partis politiques fédéraux - Les coffres de Poilievre sont les mieux remplis (La Presse)Une bataille judiciaire se profile à l’horizon pour une entreprise qui souhaite concurrencer les plateformes d’affichage en ligne de propriétés à vendre, comme Centris ou duProprio. Karounga Diawara, professeur à la Faculté de droit, trouve cette situation bien intéressante d’un point de vue juridique, y percevant le fait qu'un acteur traditionnel ait à subir la pression des nouvelles technologies.
Une plateforme immobilière mise en demeure avant même d’être lancée (Radio-Canada)Jean-Pierre Corbeil et Richard Marcoux, professeurs à la Faculté des sciences sociales, signent un texte d’opinion sur le projet de loi 84 sur l’intégration nationale, annoncé en grande pompe le 30 janvier dernier et éclipsé par les turbulences canado-américaines. Selon eux, il aura finalement fait l’objet d’assez peu d’attention, ne serait-ce que parce que son contenu est plutôt mince et qu’il nous laisse ainsi sur notre faim.
Loi sur l’intégration nationale - Un modèle flou pour une fin encore à définir (La Presse)