
Voici quelques interventions de la communauté au cours de la semaine du 13 février.
- L’intelligence artificielle sera à l’honneur lors de la Semaine numériQC. Christian Gagné, directeur de l’Institut intelligence et données de l’Université Laval, aborde la force de Québec dans le domaine et les enjeux à surveiller.
Quand la recherche rencontre l’industrie (La Presse)
- L’anxiété est une émotion normale qui peut devenir problématique lorsqu’elle est excessive ou perdure. Isabelle Denis, psychologue et professeure à la Faculté des sciences sociales de l’Université Laval, aborde la façon dont l’anxiété se manifeste et comment la gérer.
Faire la paix avec notre anxiété (Métro)
- La chercheuse à la maîtrise en sciences géographiques de l’Université Laval, Yalynka Strach, et le professeur Marc-André Bourgault, de la Faculté de foresterie, de géographie et de géomatique de l'Université Laval, abordent l’importance des zones humides et leur préservation.
Milieux humides : une histoire de disparitions (Agence Science-Presse)
- Simon Thibault, professeur à la Faculté des sciences et de génie et directeur du Département de physique, de génie physique et d’optique de l’Université Laval, qualifie d’étranges l’interception et la destruction de quatre ballons dans le ciel nord-américain. Il souligne que les lancements de ballons sont très bien planifiés, de manière à ce que les équipes scientifiques puissent suivre leurs ballons en permanence.
Une crise des ballons nuisible à la recherche scientifique dans les airs? (Le Devoir)
- Le coup de foudre, événement anodin ou réaction chimique? Pour Normand Voyer, chimiste et professeur de chimie à la Faculté des sciences et de génie de l'Université Laval, la science a un impact jusque dans nos relations intimes.
La science derrière le coup de foudre (La Presse canadienne via Radio-Canada)
- La décision de Netflix de contrôler et de monnayer le partage de comptes suscite la grogne des abonnés. Yan Cimon, professeur à la Faculté des sciences de l'administration de l’Université Laval, commente cette approche en indiquant que la plateforme se comporte comme lorsqu’elle était un des seuls services de streaming.
«J’ai l’impression que Netflix surestime son importance»: des experts remettent en question la décision du géant du streaming (Journal de Montréal)
- Pour chaque 30 secondes d’annonce lors du Super Bowl, les marques ont dû débourser sept millions $US. Frank Pons, professeur et doyen de la Faculté des sciences de l’administration de l’Université Laval, commente ces coûts élevés en publicité et l’investissement que ça représente.
Un Super Bowl LVII sous le signe de la surconsommation (Le Soleil)
- Les terres agricoles du Québec s’envolent à prix d’or. Le professeur Patrick Mundler, de la Faculté des sciences de l'agriculture et de l'alimentations de l’Université Laval, explique entre autres cette hausse par le fait que des spéculateurs fonciers achètent des terres en misant sur un dézonage futur et le désir des gens de venir s’installer en campagne, particulièrement avec le télétravail.
«Ce n’est plus possible d’être propriétaire» (La Presse)