
Voici quelques interventions de la communauté au cours de la semaine du 12 juin.
Personne n’aurait voulu d’une tragédie comme celle de Lac-Mégantic. Après la dévastation, il faut continuer à vivre et penser à reconstruire. Pour Régent Cabana, chargé de cours à la Faculté d’aménagement, d’architecture, d’art et de design de l’Université Laval, rebondir sur les atouts locaux pour viser grand est une approche à préconiser dans un contexte de catastrophe naturelle.
La naissance d’un nouveau Lac-Mégantic (Le Soleil)Alain Fortier, chargé d'enseignement à la Faculté des sciences de l'administration de l’Université Laval, et Jean Danis, chargé de cours à la Faculté des sciences de l'éducation de l’Université Laval, cosignent un texte d’opinion sur les enjeux liés au rôle des enseignants accueillant les stagiaires dans leurs classes et celui des superviseurs universitaires impliqués dans l’accompagnement.
L’INEE et le praticien réflexif (Le Devoir)Ce sont 135 millions $ que Québec a investis dans l’entreprise Lightspeed. Le but d’Investissement Québec était d’augmenter la participation québécoise dans l’actionnariat pour protéger le siège social. Un objectif louable, selon Yan Cimon, professeur à la Faculté des sciences de l'administration de l’Université Laval, mais il faut s’assurer de le faire en ne sacrifiant pas la création de valeur.
Investissement Québec aussi a acheté des actions de Lightspeed en secret (Le Journal de Québec)Les réseaux sociaux se sont échauffés vendredi dernier à l’annonce du passage à l’automne de l’exposition Banksyland à Montréal, Toronto et Vancouver. Jean-François Gauvin, professeur à la Faculté des lettres et des sciences humaines de l’Université Laval, souligne qu’une des questions intéressantes que pose cette exposition est celle du réel et de l’irréel.
«Banksyland», l’exposition non autorisée (Le Devoir)Un incendie de forêt n’est pas un feu comme un autre. Quand le brasier est à son maximum, les pompiers ne cherchent pas à l’éteindre, mais à ralentir sa progression, rapporte Évelyne Thiffault, professeure à la Faculté de foresterie, de géographie et de géomatique de l’Université Laval, mentionnant que Québec est reconnue comme spécialiste de l’utilisation d’avions-citernes.
Le défi peu ordinaire des brasiers en forêt (La Presse)Accusé pour son rôle dans le génocide au Rwanda, Félicien Kabuga a été déclaré cette semaine inapte à subir son procès, à la grande déception de plusieurs. Dominique Payette, professeure à Faculté des lettres et des sciences humaines de l’Université Laval, souligne que le processus du procès pour cette tragédie est fondamental pour tourner la page.
Une démence salutaire (La Presse)Pierre Rainville, professeur à la Faculté de droit de l’Université Laval, signe un texte d’opinion sur l’utilisation du mot en « n » à Radio-Canada, alors que l’organisme fédéral a jugé bon de désavouer, en 2022, les chroniqueurs d’une émission de la SRC qui avaient cité, à quatre reprises en ondes, le titre du livre de Pierre Vallières, Nègres blancs d’Amérique.
Le CRTC semoncé au nom de la liberté d’expression (La Presse)Justin Trudeau s’est rendu à Kiev pour réaffirmer son soutien au président Volodymyr Zelensky. Selon Frédéric Côté, doctorant en études internationales à l'École supérieure d’études internationales de l’Université Laval, le Canada doit équilibrer sa contribution militaire pour qu'elle soit durable. Et c'est particulièrement difficile à un moment où le système d'acquisition et les chaînes d'approvisionnement sont paralysés.
À Kiev, Justin Trudeau annonce de l’aide supplémentaire pour l’Ukraine (Radio-Canada)La Nouvelle-Écosse vient de vivre un épisode historique avec des feux de forêt intenses, un événement qui va marquer le paysage, mais aussi les esprits. Geneviève Belleville, professeure à la Faculté des sciences sociales de l’Université Laval, qualifie de traumatiques ces événements. Elle indique que les réactions peuvent être aussi nombreuses et différentes que les individus.
Les feux de forêt causent de la détresse chez plusieurs Néo-Écossais (Radio-Canada)