Voici quelques interventions de la communauté au cours de la semaine du 12 février.
La Ligue professionnelle de hockey féminin a entamé sa toute première saison il y a sept semaines. Frank Pons, professeur à la Faculté des sciences de l'administration de l’Université Laval, voit le sérieux de la ligue et les conditions offertes aux joueuses. Il pense que la ligue est là pour durer parce qu’elle a une approche fédératrice. La ligue aussi est allée chercher des commanditaires importants.
L’éclatant succès de la nouvelle ligue de hockey féminin va-t-il durer? (Radio-Canada)La Cour suprême a mis un terme à l’incertitude qui planait autour de la Loi concernant les enfants, les jeunes et les familles des Premières Nations, des Inuits et des Métis. Au-delà de la déclaration de la constitutionnalité de la loi fédérale et de la certitude qu’elle procure aux Autochtones, la décision de la Cour suprême recèle d’autres gains importants, selon Geneviève Motard, professeure à la Faculté de droit de l'Université Laval.
Protection de l’enfance autochtone : que retenir de la décision de la Cour suprême? (Radio-Canada)Des épinettes noires, dont celles du secteur de Ragueneau sur la Côte-Nord, sont au cœur d'une avancée scientifique importante alors que des chercheurs de trois universités ont réussi à séquencer entièrement le génome de ce conifère. On parle d'un génome six fois plus long que le génome humain, explique Jean Bousquet, professeur à la Faculté de foresterie, de géographie et de géomatique de l’Université Laval.
La résilience de l’épinette noire expliquée par son génome (Radio-Canada)Près d'un an et demi après avoir été considéré comme proche de la mort, le Parti québécois est en tête des sondages provinciaux, Valérie-Anne Mahéo, professeure à la Faculté des sciences sociales de l'Université Laval, souligne que les volte-face du gouvernement au sujet d'un tunnel de Québec et la grève des enseignants ont entre autres aigri de nombreux Québécois à l'égard du gouvernement.
Le Parti québécois monte en flèche, mais le soutien à la souveraineté reste stable (Noovo Info)Renéo Lukic, professeur à l’École supérieure d’études internationales de l’Université Laval, signe un texte d’opinion sur la guerre en Ukraine. Il souligne que depuis le déclenchement de l’invasion de l’armée russe, le 24 février 2022, sur la ligne de front d’une longueur de 1000 kilomètres s’affrontent deux armées qui ont mobilisé des centaines de milliers de soldats qui participent aux combats acharnés.
Les formes multiples de la guerre en Ukraine (Le Devoir)À l’heure où un nombre grandissant de demandeurs d’asile sont forcés de se tourner vers l’aide sociale, Québec solidaire croit que le gouvernement Legault aurait la capacité juridique d’agir. Selon Aline Lechaume, professeure à la Faculté des sciences sociales de l’Université Laval, le gouvernement Legault pourrait proposer peut-être au fédéral de délivrer une autorisation de travail avant l'obtention du permis.
Demandeurs d’asile sans travail : le gouvernement Legault peut agir, selon QS (Radio-Canada)Depuis 70 ans, le nombre de centenaires explose dans les pays « riches ». Jusqu’où peut croître l’espérance de vie humaine, avant que la planète, déjà surexploitée, ne fournisse plus? Richard Marcoux, professeur à la Faculté des sciences sociales de l’Université Laval, souligne que la Terre pourrait supporter plus de gens qui se comportent comme il faut, mais pas si l’ensemble de la planète se conduit comme l’Américain moyen.
La multiplication des centenaires va-t-elle bouleverser la planète ? (La Presse)La circulation sur le pont Pierre-Laporte se maintient sous les volumes de 2019, alors que les débits de voitures sur les autoroutes 40 et 73 sont de retour à ce qu’ils étaient avant la pandémie. Selon Jean Dubé, professeur à la Faculté d’aménagement, d’architecture, d’art et de design de l’Université Laval, ça suggère que ceux qui empruntaient les ponts avant, c'est probablement ceux qui sont les plus susceptibles de pouvoir faire du télétravail.
Le télétravail aurait réduit la circulation sur les ponts, mais pas ailleurs (Radio-Canada)Le Canada déclasse la Chine en tant que meilleur endroit au monde où bâtir une chaîne d’approvisionnement pour les batteries aux ions de lithium, selon un classement publié par BloombergNEF. Pour Yan Cimon, professeur à la Faculté des sciences de l’administration de l’Université Laval, ça montre que le climat d’investissement dans la filière batterie est très bon au Canada, et ça vient consacrer nos avantages concurrentiels.
Le Canada en tête de la course pour la fabrication de batteries de véhicules électriques, selon BloombergNEF (Le Devoir)Des résidents et des entreprises des communautés rurales de l’Ontario commencent à récolter les fruits des milliards investis par les gouvernements pour assurer un accès universel à Internet haute vitesse. Ronald Beaubrun, professeur à la Faculté des sciences et de génie de l’Université Laval, soutient que le service Internet satellitaire offre déjà des vitesses qui dépassent la norme de 50 mégabits de téléchargement par seconde.
De la ferme à l’usine, Internet donne un nouveau souffle aux communautés rurales (Radio-Canada)Prabowo Subianto est favori dans l’élection présidentielle indonésienne prévue le 14 février. Alexandre Paquin-Pelletier, professeur à la Faculté des sciences sociales de l’Université Laval, estime que si Prabowo est élu, il risque de poursuivre peu à peu le démantèlement de la démocratie indonésienne et de réduire les droits et libertés de l’opposition démocratique qui avait commencé sous Jokowi.
Radioscopie - De général à président ? (La Presse)Des scientifiques américains ont montré comment la monogamie s'exprime à l’échelle moléculaire chez les campagnols des prairies. Normand Voyer, professeur à la Faculté des sciences et de génie à l’Université Laval, trouve ces résultats fort intéressants. Ces scientifiques ont montré clairement que la dopamine joue un rôle très important dans la reconnaissance du partenaire et dans l'établissement d'une relation monogame.
Le cerveau amoureux dans tous ses états chimiques (Radio-Canada)Notre système alimentaire actuel exerce une pression immense sur l’environnement et ne permettra pas de nourrir tous les êtres humains d’ici 20 ans. Que se passerait-il si, demain, nous arrêtions de manger de la viande ? Patrick Mundler, professeur à la Faculté des sciences de l’agriculture et de l’alimentation de l’Université Laval, souligne que les politiques agricoles devront impérativement soutenir la transition vers de meilleures pratiques.
Et si demain… tout le monde devenait végane ? (La Presse)